14 juil. 2010

Avoir chaud avec casque.


J'ai parlé méditation avec une lointaine ambivalence ce matin.
Le jour d'avant j'étais encore moi et je pensais à moi. Le jour d'avant j'ai également remisé ma valise dans un autobus qui est parti vers le nord ouest. En direction de je ne sais quelle aventure digne d'une pluie de faces surprises. Voilà pourquoi ce qui concerne avant le jour d'avant ne concerne que ma valise et moi. Parce qu'à si court délais on ne parle pas de sport, on parle de la vie (qui, me souffle-t-on à l'oreille, serait un sport dangereux). La vie c'est dense, c'est sérieux, ça fait suer. Des jours à parler de la vie parce qu'on ne parle que de ce que l'on connaît et la mort ne nous reconnaît pas encore. J'ai joué à la carpe qui se prend pour un tapis et je n'ai pas dis mot à vous. Trop occupé à scruter la vie qui avait germée dans ma valise pour arriver à construire des phrases.

Mais ce n'est pas grave parce que même sans valise, j'arrive à stocker pour fin de transport éventuel : De la contre-bande d'idées, de blagues scatophagiques, des cahiers de comptables à colorier, un scotch 12 ans rough pour son âge au 3e degré.

Je laisse glisser l'information suivante : je suis une canalisation d'eau municipale.

Si vous êtes ici, c'est pour avoir de mes nouvelles.

Flash News : Je vais bien maman.

Mes jours ici ne sont pas trop conformistes puisqu'ils ne se ressemblent pas... la ville qu'hier chauffait de trop d'esprits.. aujourd'hui doit être repeuplée d'autres choses que de fantômes. Alors qu'on n'arrête plus de toucher des choses un jour de musée... on regarde rien pendant qu'on écrit peu la semaine suivante. On fait semblant d'aller au rythme de la chaleur; on climatise le rythme à vrai dire.

J'ai un chapelet d'ultimatum pour me dire qu'il faut pas merder. Qu'il faut profiter de l'occasion des jours restants pour cumuler un maximum d'information pour mes fesses. À mon retour de voyage dans le futur, je suis présentement conscient qu'il ne faut pas que je tartine le passée de regrets. Le chapelet qui dit qu'il faut pas merder fait dire de [vous avez compris.]erder.

5 juil. 2010

Acide ascorbique et autres fraudes lévrogyres

Mes amis, même ceux dont le féminin échappe à la formulation standardisée, bonjour.

Il se trouve qu'on me fait signer des envies de contrats avec l'encre d'un sourire honnête et flatteur. Acceptez l'offre du banquier académique?... devenir gardien de musée? Moi, en suis-je capable? Je viens vous demander conseil : Que faire de mon envie de manger du pain 3 fois par jour. Est-ce montignac-approved? Bouffe oui, je me charge de régler les choses qui ne font pas grossir comme l'hypothèque et la bouillie d'antiquaire : soyez plutôt mon guide alimentaire.

L'aéroport local m'annonce qu'on a retrouvé ma valise et qu'on me l'enverra d'ici quelques jours. C'est fort heureux que cela et les batteries de canons pointent à l'anachronisme potentiel de mélanger fort et coup de canon fort. Je pourrais vérifier mes sources mais suis tellement désinvolte que je vous invite plutôt à modifier vos références. Ma valise oui.

Elle a vu du pays qu'on me dit. Un beau petit tour mais elle revient. Que contient-elle? Possible qu'on y ait déposé autre chose que le contenu originel ; lui était prédisposé à être là car je l'avais pré-déposé. Il était là à s'occuper d'être passif acteur de la valise : ... son contenu au commande? Déterminisme ou liberté?

Analogie à trois balles à jongler : fumer mes idées qui crèvent de faim. Pas mieux? Mes excuses. Corrigeons vers la baisse des emportements :

«A common opinion prevails that the juice has ages ago been pressed out [...]»-William James

Hâte de revoir ma valise dans et d'éparpiller son contenu par terre pour faire l'inventaire des surprenantes et rectangulaires patentes.... rectangulaires ou non.

Je dois aller répondre à la porte de demain avec des heures de sommeil aux fesses, excusez mon pluriel popotin... le musée m'attend pour fin de devoir finir.

«L’expérience nous apprend que lorsqu’on entend sonner à la porte, c’est qu’il n’y a jamais personne» - La Cantatrice Chauve

30 juin 2010

J'appelle du futur pour vous avertir des fautes d'orthographes

Séduisante formulation c'est vrai. Un décolleté d’appas du gain.

J'étais habillé par 4 astronautes morts de pas vrai. Il faisait presque aussi froid que dans l'espace mais je vous dis pas où. Malgré les dangers : l'ambiance restait bon enfant et le bon. Menaces à base d'acide ou d'aveuglement ultra violet sous l'ambiance d'un stress jaune. De tout les côtés les blessures brûlantes d'envie de se matérialiser sur les bébés qui constituent ma peau. Et pourtant ça discute au café de la mort : «Devinez ce qu'à répondu ma femme, réthoriquement».

De loin la salle du musée où on fait le moins de blague... mais qu'on en fasse c'est déjà digne d'un fossile, d'un pont, d'une école primaire ou d'un parc à crotte de chien.

C'est la section d'une blague d'austérité. C'est la sécheresse d'un faux mouvement. C'est là où je passe la moitié de mes journées de visite. C'est pour ça que je suis ici.

Effectivement, il y a des moments plus importants que d'autres dans une sortie scolaire. Ceux où le sommeil se perd entre les cartes à jouer pour les académéciés. Ceux où un panneau vomit de l'information sur un siècle dont on se câliss à tous les égards... genre le 17e... pour les académicieux.

Je suis exactement un peu entre les deux à peu près. C'est un musée puant mais je m'y amuse comme un diabétique avec une coiffure d'édulcorant. La coiffure est frisée.

Je me met aux alcanes entre deux cafés mal dosés. Je discute avec du papier qui m'échappe un peu. Petit furet qui joue au chien : je rapporte le bâton lancé par l'envie d'aller en vacances en connaissance de cause.

Autre fois on allait chercher le bâton pour le plaisir de satisfaire l'envie d'avoir du plaisir à aller chercher. Laissez-moi emprunter une nostalgie qui m'est chronologiquement impossible :Dans l'temps c'était au présent qu'on avait du fun vrai.

Je serais menteur d'affirmer que je ne flaire pas le carriérisme au bout du bâton. À vrai dire c'est peut-être le cas depuis la veille de la nuit des temps. Mais puisque je ne le savais pas avant : ça casse dans l'dash pour mon nombril (le mien est creux avec une sensation de mousse). Pourquoi ça casse? Parce que je ne suis pas trop certains que ce genre de musée devrait occuper le long terme à bords du radeau "Mon cul demain". Poétise inspirée, je vous l'accorde.

Reste que de savoir ce qui cause l'odeur de pourriture entre les murs du musée... c'est intéressant. Je m'intéresse à l'intéressant, accordez-le moi.

C'est difficile d'être sexy furet avec l'équivalent "moustache à Brassens" en sueur, je vous l'accorde en retour.

25 juin 2010

With how many les legs en fuite !

As stroking was not enough, "clang!" she went on he : a no further going someplace alive.

As analysis overdued her sprung and glamourous sensation of breathing off pace : he went something like "gotclangedmydear!"... as much as he couldn't ... too filled with onomatopical sentence filling.

***Back to business***

Irony stikes again in southern France : On their way home someday not so long ago, people noticed a change in temperature. The latter went from the "rainy, cold and not even sorry" of the past weeks to "dried rain from no-clouds and cheerful-high sunny warmth" of the day it happened. Residents said to be relieved conversation wise as rain-complaints were saturating all over the place. Local authorities were elaborating a plan to store the extra boring negative-weather-talks that people wouldn't bear anymore from fear of deadly boredom.

"We are all pleased that we won't have to complain about the poor weather now..." said Somewomannotsooldwithterriblefrenchaccent
"Yes! the complain-about-too-hot-beautiful-weather season is back!... we were beginning to fear it wouldn't come this year!" added probablythehusbandwithterriblefrenchaccent

As students and workers are nearing vacations, scientists and uglygraphmakers expect the number of quetching-behaviors-about-positive-weather to go up by two orders of magnitude : A good news for whothefuckwedontknow.

Calm is finally back as usual bitching flows in the streets of southern France.

21 juin 2010

qui-a-t'il au bout de mes jambes?

Voilà plus de 20 minutes que je délire dans un pseudo allemand(ma langue imaginaire) avec de pures étrangères anonymes qu'il me sera impossible de retrouver : comme des chinois à Inverness il y a en 2006.. l'été. Ils et elles dormaient comme des humains sur un lit étroitement fréquenté.

Elles étaient gentilles....elles chantaient comme moi et l'ami Sam un jour de la session d'été 2008... et, charmé par la beauté de rien qui soit reproductible... je me suis laissé aller : au charme sans nom d'une rencontre restée belle et symétriquement anonyme. Des gens... principalement deux filles... comme dans une paire de ce qu'il vous plaira de mettre en paire de deux. Elles étaient autant là que des pommes sont devant moi au marché de Drummondville un jour de furet fin de semaine.

Ces dames sont une preuve qui vaut tout l'or du monde. Au confins d'une sensation: on trouve ces personnes qui vous sont chères. Maintenant, hier ou plus tard : ces gens qui ont fait une différence dans une ligne de vie aussi insignifiante, pollueuse, bruyante, réfléchie et inutilement risible à l'échelle de ce que je comprends.

Retrouvons maintenant la dame furet qui savoure la cornemuse. Du temps durant, je me suis furtivement et furet trouvé à la limite celtique d'un espagnol à cœur de souffle... il était aussi beau qu'une barbe taillée existe de manquements. Juste suffisamment longtemps pour tombé sur des humains qui soit "elles" et amatrices de cette langue de chanson trop belle. Inutilement acceptée et charme d'une réalité qu'on suppose distillée... quoi qu'elle existe. Chanson en un premier temps... et : convaincu d'avoir vaincu un ennemi dont on serre la main tellement on ignore son existence : conversation sans queue ni celle d'un voisin dérobé.

Exister n'est pas douter : c'est accéder au doute avec confiance d'avoir vécu une vérité.

"Elles" étaient vraies...ne sont pas les seules ni les premières à causer : questionnement, émerveillement et joie.

C'est le lot des humains de me ressembler, de m'inspirer et de me faire sentir en haut ou en bas.

Soyez humains et acceptez, peut-être, les sentiments qui vous sont dévolus. Sinon vous aurez la diarrhée dans un monde ou dans l'autre.

C'est la musique à bouche.

***Ce message vous a été offert par "Johnny Walker-Red Label" qui vous rappelle que la modération ça goûte l'eau***

20 juin 2010

Pierre! Plafond! Marche! Trou!

Saviez-vous que sous terre, la bonne blague est simplement d'avertir les autres de la présence de murs?

Je ne le savais pas parce qu'un furet moyen de ne le sait pas. Je suis moyen et obéit à cette règle statistique.

De retour sur le sol, laissez-moi vous dire l'altitude des profondeurs : fuck NONE!
Cette fin de semaine était hors sentier, battu ou pas. Une pause bien méritée des musées qui occupent ma semaine. Déjà une salle d'exposition d'étudiée et correctement maîtrisée par votre quêteux de pertinence d'ami. M'en reste quelques-unes... l'encouragement vit toujours ... haleine d'ail oui. Mais qui dit haleine dit respiration, dit possibilité de dire. Qui dit dire demande pourquoi possiblement. Ou pas.

J'ai changé mon ampoule à idée pour ces deux jours je disais. À boire des céréales, des patates, des herbes et du gris fraîchement récolté de la mauvaise volonté du ciel.
Pas de toiles... ni de panneaux explicatifs trop vieux donc calligraphiquement sans volonté. Juste : de la boue et/ou des amis : sur et/ou sous terre. Voici une fête sous terre :

15 juin 2010

Le meilleur jour de congé, faut se le tirer.

Imaginez qu'on vous donne un tournevis à tête de croix....

On ne vous dit pas pourquoi cette tête. On vous fait croire qu'il est impossible de changer. Jamais on n'évoque le fait que ce type de tournevis ne fonctionne pas avec les autres vis.

Elles sont pourtant bien présentes ces autres vis... mais vous voilà, sans le savoir, à vous balader avec un Mr.Freeze dans une main, un sourire dans une bouche et votre tournevis dans l'autre main.

Force est de constater, à force de vissage qui dévisage d'efforts... qu'il y a quelque chose qui carillonne... ça marche un peu croche souvent.

À "stripper" de la vis trop souvent... on oublie la satisfaction d'un tour de tournevis qui est réellement utile et véridique.

On se pose plus la question de savoir si c'est même pertinent d'appliquer le tournevis à la situation qui nous est présentée. On applique.

Sur toutes les lèvres on demande, en parcourant les gerçures labiales, si c'est visse ou dévisse. Les plus subtiles questionnent votre vitesse de rotation.... dans les bons jours.

Mais entre deux coussins de ce divan où se déguste le rosé : ça a pas mal "non merci".

Au lieu de tourne-visser, vous êtes fâché. Parce qu'on vous a foutu un tournevis dans la main. Ça aurait pu servir à bien d'autre chose cette maudite de main. Donner du marteau par exemple. Dépecer un poisson ou un argumentaire de saoulons noyé dans sa confiance. Faire des petites écoles pour les petits enfants. Ça s'appelle une constatation. «C'est désappointant» pour être poli, «ça fend le cul dans des axes impossibles» pour dire la déception de se sentir tout con.

C'est la faute à rien. Personne vous a obligé. Vous avez juste pris le tournevis et tourne tourne tourne...

Et bien tourne... pas rond ce fromage là.

Le poignet fatigué de tourner. Mais ces muscles là sont plus forts que les autres à force.... c'est tellement plus facile de s'enligner et puis de tourner. Horaire, anti-horaire... c'est pas grave... tant que c'est 24 heures. Handicapé par l'habitude; condamné par la paresse.

Si c'est esthétique : avouez ni rien comprendre et tirez dessus. Sous les cheveux et au-dessus de la luette.
(je reviens corriger les fautes demain)

14 juin 2010

Tu serais un bateau de farine

Exclusivité : Toute viande n'est pas bonne à manger.

Certaines ne sont halals pour personne qui soit kasher ou semi-métal.

C'est ma constatation suite à la chute de trente centimètres d'une fourchette ponctuellement mienne qui avait son billet aller-retour pour ma bouche.

Bof.
Retire avec les doigts et laisse la chaire réfléchir dans son coin d'un bol tout ce qu'il y a de plus circulaire. Le coin d'un cercle : C'est légèrement à gauche vue de haut. À 9h35 pour les pilotes vue de haut.

Pendant que le temps presse mais seulement quand c'est pas le temps... on séjourne en réunion au travail pour mieux s'informer. J'en perds aucun poil tellement je suis à l'aise dans ce séjour. Et pourtant ces cerveaux n'ont pas été enduits de formol dès le premier jour. Il faut en suer un coup. Comme si j'étais le seul qui ne suait pas. Peur qu'on trouve suspect tout ces retournements de fraîcheur sur mon front sans érosion d'effort. Remise en question de 8 pieds par 10 : de la place pour les instruments d'un jardin qui m'intéresse pas et une tondeuse grosse qui explique que je n'ai plus de jardin.

Et voilà que dans un mois c'est la fête nationale et que pour s'y préparer, c'est les célébrations du théâtre sportif ... Une arène où le plus dramatique gagne l'attention de la surveillante de piscine de 52 ans avec un pénis. Pén-alité! CaCa-rton jaune. Juju-vénil. OuinOuin-pis.(pi).

J'ai des sucres lents plein la léthargie ... mais ça manque d'épices de ma valise... quoiqu'avec un peu plus de sel je devrais pouvoir tenir.... enfin j'y verrai plus tard....

Je dois me concentrer pour arriver à demain matin sans embûches. Car demain c'est spécial : C'est le 15ième jours où je me dirais, avant d'entreprendre un seul pas en bas de mes crottes de yeux, «Aujourd'hui je science».... pour revenir 3 queues entre les jambes à 17h en rouspétant «Demain... je science .... plus!»

Cette entreprise arrive très bien à ses fins d'avancement spontané des popotins, le plus sérieusement du monde mes amis furets. (Sérieux, ça kick des culs furets).

Laissez-moi vous dire quelque chose.

10 juin 2010

Chimère chromatique

À deux doigts d'en avoir trois de plus pour pouvoir serrer une main.

C'est comme une fête de contrôle policier déguisé en fantôme cheap ass; Comme quoi être adulte au sens légal c'est surtout avoir des années d’occasions pour montrer qu'on n'est qu'un gros bébé.

J'aurais le temps d'être déçu de mon attitude mais il faut trop que je savoure les canons d'une musique qui ne m'appartient pas. Ça ne l'empêche pas de secouer, je l'espère, les tympans dans forêt de ma patience qui s'écroule.

C'est quoi cette idée d'être sourd après "vin" heures? Je vous le demande mes amis de la rue pas loin.

Et en plus ça me démange. Putain. Paye ta vie de furet. Et envoie la facture aux moustiques qui jousent à touche pipi avec ta peau (c'est le verbe "jouser" pour les insectes).

Crescendo arbitraire au milieu d'un séjour aussi relax qu'une bière de trop et matelas gonflé flottant sur piscine chlorée.

Calme, paix, sérénité et autres adjectifs de fin de semaine de spa : Allez voir ailleurs.

Une autre façon d'aborder la mésentente est de redéfinir mon métabolisme : à partir de maintenant, un furet normal ne dort plus 20 heures par jour. On toussetera à 20 pour plutôt affirmer 5.

Et ça continue en musique pour crier le mot "Narine". Woh... comme un rythme de crotte de nez complétement défoncé à l'adolescence rageuse.

J'ai une idée : je vais aller lire la suggestion de mon coloc... "Fur-Axe" Des gens pas gentils aux opinions qui tranchent (le sommeil).

Violons pas contents et pertinence momentanément pétée en 4.

7 juin 2010

Je compte tous les doigts qui vous chantent.


Les moines savent bien s'y prendre. C'est l'église vous croyez?

6 juin 2010

Redonnez-moi des cailloux, des genoux et des choux


Mes sournois pas de furet m'ont volé cette image qui accentue ma myopie. C'est ma comète d'asthmatique.

De la cendre d'in yeux

Avec ma couverture de pollution lumineuse et mes cheveux pleins de boucanes; j'ai pas dormis à la belle étoile. Une réussite qui suait dans mon dos pour remonter dans mon front. Destination pour les bons hommes? : une tour qui s'est trompée de chemin et un coin de champ piraté.

Y'avait le viol comme sport.

Y'avait des blagues de sports.

Y'avait peu d'oestrogène.

Y'avait l'altitude et son attitude cool.

Y'avait une clotûre choquante pleine d'avertissements.

Y'avait une intention de patate mais une intention crue c'est pas bon.

Y'avait l'aventure du fromage qui brûle, coule et s'épanouit.

Y'avait des météorites et des merguez.

Y'avait des mauvaises photos au flash qui beugle.

Y'avait un taureau invisible dans notre portion d'enclos.

Y'avait la distance en cloches à vaches pour nous border.

Y'avait des allergies et des bruits d'oiseau-loup.

Y'avait du yogourt liquide-limite au réveil.

Y'avait les montagnes de l'autre équipe qui servaient d'écrans de ciné-parc.

Faire un feu de camp : c'est folk.

2 juin 2010

Inventez cette partie là

Avec les tout pleins de châteaux de cristalsssss que j'ai accumulé sous mes pieds : j'ai forcé l'Afrique dans mes yeux.

Je regarde plein sud jusque dans l'cul des hirondelles qui me forcent à faire un commentaire sur les oiseaux. Mais elles étaient dont des belles connes à se battre contre le vent.... c'est comme leur 42 ième sens qui leur explique comment tordre leurs corps respectifs avec respect (sachez-le, voyageurs de la galaxie). J'aurais voulu avoir une caméra de bonne qualité pour, avec finesse furet fovez-fous, saisir la brusquessse distinguée des tambours qu'elles volaient mes belles connes d'hirondelles. J'aurais trouvé une façon intelligente de transformer ces séquences en un message revomit qui aurait fait vibrer les ménagères. Gloire; odeur de fin d'intérêt.

Plein sud que je regardais en espérant voir ... une amorce méditérannéenne, l'audace d'un bout de Maghreb ou Dakar en train de commencer à manger.

Imaginez-vous (non, ne le faites pas) la scie qui a rencontré mes jambes : pas même l'ombre d'une courbure de terre. Sur le bout des pieds alors? Rien. Plus haut encore !?

"Est-ce assez ? dites-moi; n'y suis-je point encore ? -Nenni. -M'y voici donc ? -Point du tout. -M'y voilà ? -Vous n'en approchez point."- La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf

-Les pantoufles en chien de plus haute hauteur? -Non ! -Sur le cadavre encore en vie de la maîtresse canine? -Abandonne monsieur furet.

Me voilà donc au sommet des châteaux à suer mes poils sans pertinence pour un contient que j'espère exister.

Les montagnes rient de moi... ou alors elles frissonnent du vent violant les hirondelles.

Une chance que tout les livres de psychopop du monde me confirme que la vie est belle parce que même le musée aujourd'hui s'est brisé. Fuite dans le toit qui bloque l'accès à toute l'aile ouest et ses merveilleux secrets menstrués.

Pas de musée pour apprendre... pas d'altitude pour m'offrir une nouveauté géographique... me reste les litres de bières furtives et le réconfort occidental d'une sécurité qui sent la lessive.

J'accélère la succession des jours avec une machine à coudre les histoires plates.

Écoutez ce rythme... vous ne l'entendez pas? En tout cas vous dansez pas mal fort pour des gens qui "n'entendent" rien. Pfffffff.

Quoi? .. Ah! je disais juste : Pfffffff.

29 mai 2010

La pression est un plat qui se mange pas.


Amis a-analphabètes, bon matin.

Il se trouve que j'y étais à ce café où vous n'étiez pas. Il y avait des avortements gratuits l'autre côté de la rue, à l'autre "autre" côté c'était l'échafaudage d'un trottoir. Pas grand chose sinon l'ambiance pompeuse à la Brel d'un drogué qui était moi. Puisque le café, mes chères mamans, c'est une drogue.

Indice de vieillissement de ma population c'est que je me plaît à être assis au coin de la rue, complètement dopé au C8H10N4O2. Cette modification de ma structure de bandeau pirate me permet la lecture malgré le flots interrompus d'ambulances qui bousculent, écrasent et dégustent les familles de bitumes en promenade.

Les oiseaux se racontent des blagues plus grasses que le kébab de la veille pendant que je suis sac-à-surprises d'arriver à me concentrer ; me concentrer à écouter un mort me parler d'aventure.

«Il y eut un temps où le voyage confrontait le voyageur à des civilisations radicalement différentes de la sienne et qui s'imposaient d'abord par leur étrangeté. Voilà quelques siècles que ces occasions deviennent de plus en plus rares. Que ce soit dans l'Inde ou en Amérique, le voyageur moderne est moins surpris qu'il ne reconnaît. En choisissant des objectifs et des itinéraires, on se donne surtout la liberté de préférer telle date de pénétration, tel rythme d'envahissement de la civilisation mécanique à tels autres. La quête de l'exotisme se ramène à la collection d'états anticipés ou retardés d'un développement familier. Le voyageur devient un antiquaire, contraint par le manque d'objets à délaisser sa galerie d'art nègre pour se rabattre sur des souvenirs vieillots, marchandés au cours de ses promenades au marché aux puces de la terre habitée. » - Tristes tropiques, Tit-Claude à Lévi plein de Strauss

Quatre paires de cheveux blancs de terreur plus tard, j'enlève l'ectoplasme de dessus ma frayeur pour mieux regarder ses paroles. Elles sont en résonance avec l'état chimique modifié de mon cerveau, tant mieux pour rien car.

Cette nuit, j'ai rêvé que je me droguais à l'héroïne et je décidais d'arrêter aussi. L'aiguille à cassée pour me permettre de me remettre les idées en place. Je ne suis pas fan d'interprétation des rêves... mais je suppose que ça veut dire que je fais confiance au mince structure métallique qui pique.

Le musée? Grand. Très. Jamais trop parce qu'au pire on fait du vélo et qu'au plus grand pire, on fait du bus ; ne me forcez pas à l'incrémentation spatiale de nouveau.

J'ai réussis à sourire une photo d'une carte d'accès donc, à ce musée. C'est un début de majestueux et un complet sport d'inspirant. Ça fourmille de visiteurs et de guides qui s'encrassent dans une folie de génuflexions en révérence. C'est courtois, beau et artificielle.

"Toi tu parles avec les animaux, y t'ont dit qu'la musique est trop forte"- Débouler ensemble, Avec pas d'Casque

Je n'ai visité que quelques salles d'exposition dont : Le CH2O et la course à pied / Tutoie-moi scie mécanique / La race c'est blanc / Sandwich d'abribus ; sandwich d'autres choses.

J'entends bien revoir le tout puisque mon questionnaire semble touffu tout flamme de questions sur ces dernières salles. Le tout est de bien organiser mon temps pour éviter une panique machiste. Pas de pression au menu sinon en bière.

Viendriez-vous faire un tour de melon?

24 mai 2010

Boum Bam et vachier ton tympan


Ça explose de partout ici. C'est un bruit sourd (une expression de roman jeunesse peut-être). Une particularité agréable et violente (l'hyperbole aussi appartient au roman jeunesse)(dénigrer des romans jeunesses tient plus du pédant de CÉGEP)(exagérer sur le cas du cégepien est la première étape de la parole chez l'humain moyen (moyen au sens où sa craque de fesse concorde avec le centre de la gaussienne)).

Il y a le silence d'une morgue en plastique d'halloween de pharmacie ..... et demain c'est le premier novembre. Les rues s'épuisent au soleil à trop chercher comment se vider encore plus. L'humain qui la piétine la semaine durant s'en est allé. À croire qu'il y avait un suicide collectif et qu'il n'y a que le gars à vélo là-bas et moi qui n'étions pas invité.

Je me lave le pelage pourtant. Je ne pue pas beaucoup. Mes glandes oui et après. On en furet pas tout un plat. Mes excuses.

Peu importe s'il n'y a plus personne entre les murs de brique de la ville :
première visite de musée demain. Je prends des photos s'il y a des cadavres et/ou des épées et/ou une combinaison des deux avec un membre du groupe KISS. J'avais tellement hâte de commencer et m'y voilà. Je fais le serment de porter possiblement des culottes demain donc.

Cherchons la corrélation culottes-pertinence.... elle est partie par là.

Moi je fil tout droit à travers la nuit : Le moteur sent l'huile à volonté et la noix de coco.

20 mai 2010

Les travesties à rainures

oui, mais il faut tout de même admettre le standard non-dit au moins que non-partagé, suite à quoi oui.

19 mai 2010

L'entropie du moindre effort

Supposons qu'on détienne suffisamment de ressource pour établir une cartographie complète de l'attitude envers le consommateur à travers un pays. Supposons que c'est pour vrai. Supposons qu'un pays comme la France existe. Affairez-vous à établir cette cartographie et saignez des yeux.

Des gens en moto qui roule sur du blé en klaxonnant des produits laitiers. Je pouvais les voir au loin alors que mon indécente piraterie tirait à sa fin. Ne pas faire de bruit durant tout le trajet, aucune plainte ni même de réflexions désobligeantes envers les odeurs et leurs responsables. Le perver soleil du matin dont on déteste décrire la luminosité se pointe par le fenêtre pour venir crever des yeux passagers et les miens. À quoi, de suite, je me retourne pour effectivement voir les motocyclistes. Ceux-là qui me semblent plus gros une fois sur un coin de fermeté, la terre.

La grosseur : il ne s'agit pas de peur. Il s'agit d'être plus sage et de savoir quand courir... il y aurait donc ignorance partout en cet endroit puisque personne ne fait course ici. On marche, on tétine de l'herbe entre ses lèvres, on fait semblant de vouloir rappeler son chien, on discute avec un collègue de travail pour ne pas voir le travail qui confère le collègue.

Curieux endroit aux contours familiers, ça goûte pas mal du tout. Reste à savoir si je peux maintenir le rythme des découvertes car l'examen au retour m'attend déjà : "Où étais-tu? Pourquoi? Répète sans nourriture dans ta bouche cette fois."

J'ai tout un deltaplane de justifications à construire pendant que je suis ici. "J'ai découvert et exploré par accident" pourrait être une armature intéressante à mon aéronef il me semble.

Un chien qui mange un chien qui mange.

Il fait beau soleil dehors alors je salutationne mes amis les banquiers de l'autre côté de la rue et retourne faire un somme furet : 20 heures par jours valent mieux que 19 qui, elles-mêmes, valent mieux dans l'esprit que sous les yeux.

Prenez soin de vos sommeils.

18 mai 2010

Les départs : ça sexe.

À ne plus savoir quoi redouter par fatigue, on se fatigue.

Je doit être honnête avec vous : je ne sais plus le temps qu'il me faut... considérer le moment d'écriture ou le moment de distribution?

Aéro-furet me propose, en échange de 3 chiens d'aveugles de chiens aveugles, 24h d'internet. Je ne puis me le permettre et c'est pourquoi mes cuisses chauffent : je vous tape le tout en direct de mon gras de jambon. Vous ne le saurez que plus tard. Ça et aussi vos problèmes digestifs et aussi : ricanes-moi le visage.

C'est inauthentique peut-être?

"[...] tu confonds un peu tout, tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe, tu es fou[...]"-La classe américaine

Je ne le sais pas et je sais encore moins comment vous dire les vides qui viennent à l'instant. Entendons-nous : vivons le barycentre de la décision sur la petite mélodie faciste qui m'habite là. On utilisera le présent à l'avenir (retenez ce cruel roulement de cymbales car j'aime).

Alors, un nouveau départ qui fait du slalom jusqu'ici dans la page hache-t'es-aime-elle. Toujours pas de, mes fouineux fourbeurs de faussetés, nouveaux développements niveau paperasse de sortie : je suis prisonnier d'une indifférence froide de papier.

Positivement parlant par la bouche : j'héberge une cheminée! Depuis cette fin de semaine, elle besogne et dorlote ma trachée. J'apprécie sa présence quoiqu'elle soit plutôt demandante le matin venu avant venant.

Mais comme je coupablibliblise de ne pas vous dire le stress qui m'habite... quelques minutes et je saute illégalement à bord du destrier (oui : intra-chevalin) qui me mènera à l'aventure scolaire. Voici mon plan pour ne pas me faire pincer les fesses que je n'ai pas : Invisibilité extrême et calme de cathédrale, ajouter du sel au goût et laisser figer 30 minutes au réfrigérateur. Servir à température pièce.

Je sais qu'il est tard (si c'est le cas) mais je demandais si vous preniez les aveux...? Voilà le mien : ma valise me manque, métaphysiquement parlant.

Allez dans la paix de mon dos humide,
bisous.

11 mai 2010

Aunt Jemima, voilà mon autre joue.


Ma face, qu'on me la redonne. Redonnez sinon je mange votre ghetto blaster et tout les punks accrochés dessus.

Je ne suis pas de nature combative et pourtant j'ai dû batailler avec la bille d'un stylo qui m'a refusé de signer. Ni combatif ni combattant alors. Je ne peux pas comptabiliser là-dessus, capitaliser l'échec.

Aspect comptabilité donc : les comptes ne sont pas bons puisque maman furet à refusé de signer mon papier de sortie scolaire. Avec un stylo ou un sourire d'ailleurs, tous étaient absents. Je ne serais cependant pas, rassurez-vous friables grands-mères, cloué sur place pendant que mes compagnons flirtent avec la découverte des corps terreux. Je serai moi aussi de la partie puisque j'embarque à bords d'un illégal transport d'intention. La pertinence s'apprend et j'ai donc encore droit à ma part d' «im» dans la même farine pédagogique. J'envisage m'en offrir le moment opportun à la porte venante : Dimanche qui vient dans de belles grandes bottes de bientôt.

"And then came a sound. Distant first, it grew into castrophany[...]"- Fire coming out of the monkey's head, Gorillaz

Encourage toi petit furet, si tu n'arrives pas à mettre tes culottes.. au moins tu ne t'attristes pas de te balader sans. Une simplicité extra-volontaire d'amour propre qui perd son sens dans la barbe qui t'abandonne, c'est la faute à la margarine madame.

Exercice #12b :
L'autre s'approche et siffle un air que je ne connais pas, engage une conversation avec quelqu'un que je ne connais, parle de quelque chose dont j'ignore tout. Je ne suis même pas témoin de la scène et je n'en fais pas la narration.

Exercice #12a :
J'aurais dû précéder le #12b ; c'est un grave manque que je ne manque pas de vous faire savoir.

*Fin des exercices*

C'est bientôt réunion des anciens fœtus, juste avant mon départ. On parlera placenta, on boira des cris de mères en plein buzz de douleur. Réunion et ensuite hop : retour sur les planches du travail pour une sortie dont j'ai hâte de vous parler. Ça ressemblera à ceci : «Aujourd'hui j'ai mangé A B C, vu D E F, parlé G H I et vous emmerde avec mon banal récit de A B C D E F G H I. Saviez vous que X a vomit son B sur les petits E ?»

Exemple récital bien ficelé et vous voilà mes esclaves attentifs. Ouvrez bien grand vos oreilles... assez pour que vos yeux puissent lire.

je vous aime probablement,
moi

8 mai 2010

Assiduité et lipo-faction

Il semblerait qu'on ne peut pas déconstruire une mère de famille. La dernière que j'ai bousculée m'a d'ailleurs semblé très pincée ; sa voie aiguë, son ventre grave d'enceinte et le mépris dans sa non-poignée de main. Sans rancune : tu vas mourir méchante chipie... c'est une question de temps ou de choléra ou d'un mélange des trois.

"George est un fasciste de merde. Un fasciste de merde !" -La classe américaine

À bien y penser : j'ai pas bousculé la dame. C'est quoi son "rap-rappppport" de "prob" à elle?

C'était vendredi soir : musique, sexe-imaginaire de pré-pubère de 28 ans... et moi qui danse trop proche de la dite paire d'ovaire. Tu parles d'un démotivateur à danse: s'imaginer un bébé qui ne se noie pas dans le ventre d'une hydrocéphale qui fleuve son wanna-flo.

"But we ran into a bear. That was even more of a buzz kill."-Mitch Hedberg

Après un affiler de couteau je tranche des documents de sortie scolaire. ..ne nous tiendrez pas responsable si votre enfant fond dans la lave.... dispensez de toutes implications légales....

Les documents : Angoisse de fin de bourgeoisie si je pouvais l'écrire ce mot bougre. Bientôt terminé, je pense fort bien être fort bien tiré d'affaire bientôt et bien.

J'aime à savoir la pertinence requise pour la sortie et tout ce que je me permet de cohérence pour y arriver. C'est le métier qui rentre. C'est l'école qui m'enseigne.

C'est mon nez qui pique surtout.

4 mai 2010

Acte d'existence

J'ai battu l'autobus ce matin.
Je soupçonne par contre qu'elle avait oublié de me devancer.
Elle aime pourtant se faire rater par "insérer victimisation ici".
Je garde cependant le bénéfice du doute de mon côté de la clôture de fierté.

Ça valait la peine de ne pas raté l'explosion de cerveau. Mes collègues et moi avons réglé la température de la pièce à "suffisamment pour suer de la moustache si tu ris trop fort" suite à quoi la valse a dansé deux heures durant. Explosion(s)(es)(éesés) oui.

L'inspiration du débutant, ne s'estompe pas et mes glandes de furet brillent sur "insérer discussion sur un mât de bateau et utilisation du mot azur sur lit de voix grasses". Me voilà encore charmé madame, monsieur, hermaphrodite... par l'idée fausse de comment pourrait s'élever ma perception de moi-même si je trouvais la sortie académique : Un film pour toute la famille.

Sinon j'ai su que ma valise était en vie et bien portante (de je ne sais quelle substance que je souhaite licite : prions Sainte-Véronique... sainte patronne des photographes et beau nom pour une chanteuse pop-urbaine). Elle existe toujours.Ça ma fait, littéralement, un velour en dedans. C'est de peu d'intérêt pour un furet(incarnation accessoire de velour) : laissez mon système nerveux sous le choc vous en glisser un mot.

Et les bagages anorexiques (encore) flirtent avec mon lit qui flirte avec l'idée que j'y réfléchisse 8 heures de temps à des choses impossibles, les yeux fermés, à compter les phases de sommeil pour m'endormir. (ce n'est pas vrai bien entendu, c'était juste pour le style... je regrette la tentative : je ne me souviens d'aucun rêve)

"If you can't sleep, count sheep. Don't count endangered animals. You will run out."-Mitch Hedberg

3 mai 2010

Faut mettre de l'encre dans son stylo

L'été, l'école est fermée.

J'ai signé l'inscription sur le sourire du monsieur qui m'a tendu les explications.

Après une journée de lecture et de discussions mondaines, je constate l'état zombifique de l'établissement : Plus vide de vie que de mort mais une impression de soif de cerveau malgré tout.

Est-ce que j'ai aimé? Oui puisque non stress. Zéro pipi nerveux. Oui parce que l'école pleine de gens gentils, c'est comme l'école à la maison si ta famille peut se faire aimer par toi.

Bientôt, mon trimaran musical et moi, nous partirons pour l'aventure. Une sortie scolaire en terrain horizontal et/ou montagneux. Le trimaran est un mensonge en passant.

"[...] it's land so that means it's... you know... like dirt ... that's... horizontal"-Mitch Hedberg

J'avais pas oublié la routine temporelle. Je la réincorpore avec un sourire et presque confiance.

"Retourne ton dos" que je me dis alors qu'en fait je pense à ma tête/cou et là je discute de la sortie scolaire: "Regarde les bagages vides de vêtements. Tu ne pourras pas t'habiller de bonnes intentions petit furet". Je reste beaucoup retourner dans ma chambre à regarder l'absence de ma valise qui a quitté sans moi : elle a ses choses à faire et à vivre. Prends l'exemple de ta valise et prépare un sac de voyage. Après sacado, c'est pudeboulot et dodo. Après dodo c'est demain.
Demain il y a une réunion avec mon équipe d'explosion de cerveau. J'espère ne pas sous-exploser devant eux. Je peux exploser toute ma part et au pire, c'est pour ça que je suis à l'école. Comme le dit la devise de l'établissement : Humilité, apprentissages et toilettes publiques.

Un gros détour de bon sens au gros sel, je vous l'accorde : Je rachète ma pertinence en vous écrivant que la météo était changeante aujourd'hui mais que la finale est le fun (ça veut dire du soleil pour mon cul : le beau bourgeon de printemps de mon cul).

2 mai 2010

Ouverture du trench coat



J'ouvre mon trench coat.

J'expose mes no parking à grand déploiement ; empêchez-les de stationnement.

"Welcome to Horsetown, here's a horse
Welcome to Horsetown
"-Horsetown, Crudbump, Drew

Bienvenue dans une pas ville à dos de trenchant coat.
Je rouli-roulant jusqu'au début des classes demain matin.
J'amorce demain la mèche du début d'édulcorant et de l'éducation que j'y cherche.

Vous voilà à regarder la moitié droite de la fermeture éclair de mon trench coat. Remarquez comme elle est disjointe de sa soeur de gauche.

À ce que vous voulez d'un mi-chemin entre les deux se trouvent : 2 canailles, 3 pleutres et mon papier d'inscription à l'école et la cousine de la première canaille et votre regard. Je devrai le signer, ce papier d'inscription, à la première heure demain matin suite à quoi j'intégrerai ma roue à aube, crayon en main. Crayons en mains si j'étais une bête de cirque ou un habile moyen homme.

J'aime l'idée de l'école et j'y fonce légèrement ; car trop vite et j'aurais l'air d'un mauvais spot de pub.

Demain matin, j'amorce ce que je peux d'un furet pertinent.