30 juin 2010

J'appelle du futur pour vous avertir des fautes d'orthographes

Séduisante formulation c'est vrai. Un décolleté d’appas du gain.

J'étais habillé par 4 astronautes morts de pas vrai. Il faisait presque aussi froid que dans l'espace mais je vous dis pas où. Malgré les dangers : l'ambiance restait bon enfant et le bon. Menaces à base d'acide ou d'aveuglement ultra violet sous l'ambiance d'un stress jaune. De tout les côtés les blessures brûlantes d'envie de se matérialiser sur les bébés qui constituent ma peau. Et pourtant ça discute au café de la mort : «Devinez ce qu'à répondu ma femme, réthoriquement».

De loin la salle du musée où on fait le moins de blague... mais qu'on en fasse c'est déjà digne d'un fossile, d'un pont, d'une école primaire ou d'un parc à crotte de chien.

C'est la section d'une blague d'austérité. C'est la sécheresse d'un faux mouvement. C'est là où je passe la moitié de mes journées de visite. C'est pour ça que je suis ici.

Effectivement, il y a des moments plus importants que d'autres dans une sortie scolaire. Ceux où le sommeil se perd entre les cartes à jouer pour les académéciés. Ceux où un panneau vomit de l'information sur un siècle dont on se câliss à tous les égards... genre le 17e... pour les académicieux.

Je suis exactement un peu entre les deux à peu près. C'est un musée puant mais je m'y amuse comme un diabétique avec une coiffure d'édulcorant. La coiffure est frisée.

Je me met aux alcanes entre deux cafés mal dosés. Je discute avec du papier qui m'échappe un peu. Petit furet qui joue au chien : je rapporte le bâton lancé par l'envie d'aller en vacances en connaissance de cause.

Autre fois on allait chercher le bâton pour le plaisir de satisfaire l'envie d'avoir du plaisir à aller chercher. Laissez-moi emprunter une nostalgie qui m'est chronologiquement impossible :Dans l'temps c'était au présent qu'on avait du fun vrai.

Je serais menteur d'affirmer que je ne flaire pas le carriérisme au bout du bâton. À vrai dire c'est peut-être le cas depuis la veille de la nuit des temps. Mais puisque je ne le savais pas avant : ça casse dans l'dash pour mon nombril (le mien est creux avec une sensation de mousse). Pourquoi ça casse? Parce que je ne suis pas trop certains que ce genre de musée devrait occuper le long terme à bords du radeau "Mon cul demain". Poétise inspirée, je vous l'accorde.

Reste que de savoir ce qui cause l'odeur de pourriture entre les murs du musée... c'est intéressant. Je m'intéresse à l'intéressant, accordez-le moi.

C'est difficile d'être sexy furet avec l'équivalent "moustache à Brassens" en sueur, je vous l'accorde en retour.

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